Taiwan — Le patron du groupe Evergreen ne laissera rien à ses enfants. Ils doivent travailler dur s’ils veulent s’enrichir.
Le bouddhisme n’est pas incompatible avec l’enrichissement personnel. Pour autant que l’on redistribue son argent afin de s’assurer un bon karma pour sa prochaine vie. C’est en tout cas la philosophie adoptée par le magnat taïwanais du transport maritime et aérien Chang Yung-Fa, rapportait mercredi «Le Figaro».
Agé de 84 ans, le patron du groupe Evergreen a annoncé que, à sa mort, il ne laisserait rien de sa fortune, estimée à 1,6 milliard de francs, à ses enfants mais redistribuerait tout à des œuvres de charité. Il estime que sa fille et ses quatre fils possèdent suffisamment d’actions de l’entreprise pour vivre et qu’ils n’ont qu’à travailler dur s’ils veulent s’enrichir, selon le «China Post».
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