Les éditions Arléa de Paris ont eu l’excellente idée d’inclure dans leur collection « Retour aux grands textes » (domaine latin), cet opuscule d’Érasme, pas trop connu, mais dont l’actualité nous semble incontestable [[Érasme, Plaidoyer pour la paix, Paris, Éd. Arléa, 2002, 90 p.]].
La Querela pacis, rendue par Plaidoyer pour la paix, est de 1516. Érasme est déjà le centre de l’intelligentsia de l’Europe. Il a publié son Enchiridion militis christiani (1503) et le très diffusé Moriae encomium (1509). Il a fait des séjours à Paris, mais surtout en Angleterre, en Italie et à Bâle. Charles, le futur empereur et roi d’Espagne, le nomme conseiller en janvier 1516, et l’humaniste lui dédie son Institutio principis christiani. Il travaille à l’édition de son Novum testamentum et il est en excellentes relations avec le pape Léon X, qu’il salue comme promoteur de la paix, après le belliqueux Jules II, qu’il déteste profondément (Julius exclusus e cœlis). Il écrit alors une sollicitude formelle pour être dispensé de ses vœux monastiques, puisqu’il était chanoine régulier de Saint-Augustin de Steyn, et le pape lui accorde de revêtir l’habit du clergé séculier et de ne plus retourner au couvent, ainsi que l’absolution des censures et la faculté de recevoir des bénéfices ecclésiastiques, nonobstant sa naissance illégitime [[Le père d’Érasme était un prêtre. D’après lui, il aurait été forcé à entrer au couvent. Mais il y aura toujours chez lui le souvenir de ces années de formation dans l’esprit de la Devotio moderna, si pieuse et anti-scolastique. (Voir R. Villoslada, « Érasme » dans Dictionnaire de spiritualité, IV, 1, col. 925-928).]]. Son programme est net : « biblicisme, ou plus exactement évangélisme contre la scolastique, christianisme intérieur contre le formalisme des cérémonies, études classiques comme préparatoire à l’étude de l’Écriture [[Ibidem, col. 928.]] ». Qui plus est, à ce moment il semble entrevoir un véritable âge de paix : « Dans un proche avenir, comme dans un siècle d’or, puissent déjà fleurir ensemble la piété, les meilleures lois et toutes sortes d’arts honnêtes. » (Lettre à François Ier. )
Le Plaidoyer pour la paix se situe dans ce contexte, et on a pu affirmer que notre auteur est le premier à témoigner « d’un esprit européen, qui le pousse à mener inlassablement, sa vie durant et d’œuvre en œuvre, une « guerre contre la guerre » [[Ch. Labre, « Présentation » dans Érasme, Plaidoyer pour la paix, op. cit. p. 5.]] ».
Du point de vue formel, le Plaidoyer est composé d’une dédicace à Philippe de Bourgogne (1464-1524), homme d’État et homme de guerre, jusque-là laïc, élu à l’évêché d’Utrecht [[Ibidem, p. 13, note 1.]], et d’un discours relativement long, composé d’après les règles de la rhétorique ancienne, en un latin très élégant, et qui finit par une péroraison. Or, en suivant une fiction littéraire tout à fait classique, c’est la paix personnifiée qui présente cette querela et qui cherche à émouvoir et convaincre, par une suite d’arguments humains et chrétiens, de son absolu bienfait pour tous les hommes [[Un autre exemple classique de personnification littéraire serait la philosophie dans le célèbre opuscule de Boèce, La consolation de la philosophie.]].
La nature
Quelle est la suite des arguments de la paix en faveur de la paix ? Les bêtes, sauvages ou stupides, sont en paix, le cosmos est en paix, les corps vivants sont en paix, les fauves mêmes sont en paix. Et l’homme raisonnable (p. 19-22) ? Plus que les autres êtres, il est appelé à être humain, c’est-à-dire bienveillant (p. 23), lui qui a été créé faible, et sans armes, lui dont le besoin de la tendresse familiale est essentiel. La nature donc « a voulu enseigner à l’homme la paix et la concorde » (p. 25). Mais elle s’est avérée impuissante.
Le Christ
Alors il y a l’enseignement du Christ « plus remarquable que celui de la nature » (p. 26). Néanmoins l’échec est ici encore épouvantable. Les princes sont source de guerres (p. 27), les intellectuels, les prêtres, les religieux, les monastères, les couples, le cœur même de l’homme se montrent profondément belliqueux (p. 27-32).
Érasme développe alors un long argument biblique en faveur de la paix, avec l’appui même des auteurs classiques (Silicius Italicus). Il fait recours à Isaïe, dont le phrase opus iustitiae pax (Is 32, 17) a été si répétée par les chrétiens [[« Le fruit de la justice sera la paix. » C’était la devise du pape Pie XII.]], mais aussi aux Psaumes, à saint Paul, à Salomon, figure du Christ (p. 33-36). Il s’attarde alors à toutes les références pacifiques des Évangiles, à commencer par la nuit de Noël, jusqu’au « testament » de Jésus : « Je vous donne ma paix » (Jn 14, 27), et à l’exhortation à l’unité (Jn 17, 11).
Érasme fait recours au Notre Père, à l’image de la vigne, à l’eucharistie, à la douceur et à l’humilité du Christ (p. 40-42). Tout porte le chrétien à la paix : les sacrements, l’Esprit Saint, l’Église elle-même : « Tous ces hommes tirent leur origine d’une même source, leur religion a le même fondateur, ils ont été rachetés par le même sang, ils sont initiés aux mêmes mystères, ils se nourrissent des mêmes sacrements. Et les fruits de ces sacrements viennent de la même source, ils sont également répandus sur tous. Tous, ils ont la même Église. Enfin, tous attendent la même récompense. Bien plus, cette fameuse Jérusalem céleste, vers laquelle soupirent tous les vrais chrétiens, tire son nom d’une vision de paix, dont l’Église, ici-bas, offre l’image. » (p. 47, souligné par nous.)
Lamentation historique
Notre humaniste commence alors une longue « lamentation » : « Alors comment se fait-il que cette Église diffère à ce point de son modèle ? » (p. 48.)
Nous entrons dans une fresque des « temps récents », de l’histoire européenne à l’époque, décrits avec toutes les ressources du meilleur art oratoire. De 1506 à 1516, les conflits se succèdent en Europe, parfois provoqués par les papes, surtout par Jules II, créateur de la Lega santa contre la France (1511). Érasme fait l’éloge de la Rome païenne, civilisatrice après ses victoires, et il s’attaque aux princes chrétiens, tout en faisant une louange de la France (p. 52-53). Il blâme l’invention des canons de guerre, il loue la « plèbe » contre les princes et il oppose même le pontifex païen de la Rome antique au belliqueux Jules II, qui unit le casque et la mitre (p. 155-157). C’est l’impiété. C’est l’adoration de Mars, dieu de la guerre, tout en mettant la croix dans les étendards : « Qu’est-ce que cette monstruosité ? La croix combat la croix, un chrétien fait la guerre à un autre chrétien. » (p. 60.)
Notre humaniste revient au Notre Père comme prière pacifiante (p. 60-61), pour blâmer les guerres fratricides, avec des allusions aux Turcs, aux « arguments » de la guerre juste, à l’arbitrage des sages. On dirait un « manifeste du pacifisme » : « La paix la plus injuste est toujours préférable à la plus juste des guerres. » (p. 63.)
Éloge de la paix véritable
Érasme entrevoit dans le pontificat de Léon X une chance pour la paix. Il s’adonne alors à la description d’une « paix solide » : « Une paix solide ne s’établit pas sur des parentèles ni sur des traités humains, d’où nous voyons trop souvent les guerres renaître. Il faut purger les sources d’où le mal jaillit sans fin ; ce sont les passions mauvaises, qui engendrent ces violents désordres, et pendant que chacun reste asservi à ses désirs personnels, la communauté souffre, sans qu’on obtienne pour autant ce qu’on recherche en se servant de mauvaises raisons. Que les princes fassent preuve de discernement, et que ce discernement soit au service du peuple, pas au leur ; qu’ils comprennent vraiment que leur prestige propre, leur bonheur, leur richesse, leurs éclats se mesurent aux actes qui les rendent véritablement grands et supérieurs. Qu’ils aient envers leur nation les sentiments d’une père pour sa famille. Qu’un roi mesure sa grandeur personnelle à la qualité de son administration, son bonheur au bonheur des siens, sa grandeur à la liberté de ses sujets, son opulence à l’opulence du peuple, sa prospérité à la prospérité qu’une paix perpétuelle assurera aux cités. Que nobles et magistrats fassent leurs ces sentiments du souverain ; que l’intérêt de la nation soit leur seul critère, et ils auront par-là même servi justement leurs propres intérêts. » (p. 65.)
Il n’épargne pas les éloges du prince juste et pacifique, « un homme libre commandant des hommes libres ; un chrétien commandant des chrétiens » (p. 66). Il blâme les dépenses militaires, les changements des frontières et des royaumes, les mariages princiers… Il suggère même la « monarchie élective » : « celui que l’élection populaire aura estimé le plus digne de ce poste » (p. 68-69). Il faut demander conseil aux prélats et aux théologiens avant de déclarer la guerre. Érasme abhorre les guerres entre chrétiens (p. 71).
Racines et conséquences des conflits
Il revient à la racine du cœur humain et il consacre quelques paragraphes à s’attaquer à ceux qui attisent la mémoire des torts passés pour allumer des guerres aujourd’hui ; parfois même la simple appartenance nationale est brandie comme une arme de combat : « L’Anglais est l’ennemi du Français. L’Anglais est hostile à l’Écossais, simplement parce qu’il est Écossais. L’Allemand se heurte au Français, l’Espagnol aux deux. Quelle dépravation ! Un vain nom de lieu est occasion de désunion ; pourquoi tant d’autres facteurs n’incitent-ils pas plutôt à une réconciliation ? » (p. 73 [[On notera l’actualité de ces expressions pour la suite de l’histoire européenne, jusqu’au xxe siècle. Les derniers cinquante ans de relative paix en Europe occidentale sont presque un « miracle historique » (pensons pourtant aux conflits des Balkans).]].) Le monde est une patrie commune, l’Église une seule famille, également commune à tous (p. 75).
Les guerres tendent à grandir, tandis que les résultats de la paix sont infiniment supérieurs aux résultats des guerres : « les lois se taisent quand parlent les armes [[Citation célèbre de Cicéron (Pro Milone, 4, 10).]] ». Que dire du fléau des « mercenaires », dont l’actualité est si frappante dans les « guerres » d’Afrique ? (p. 77). Érasme décrit avec acuité la psychologie du soldat (p. 78) et trace un bilan catastrophique des guerres : « La victoire arrive presque toujours couverte de sang. Dès lors tes concitoyens sont des hommes souillés de sang humain. Ajoute à cela la perte de la morale et des principes publics, perte qu’aucun gain ne peut compenser. Tu vides le trésor public, tu dépouilles le peuple, tu accables de charges la classe aisée, tu excites au crime les hommes malhonnêtes ; et la fin de la guerre n’éteint pas du même coup les suites de la guerre. Les arts languissent, les échanges commerciaux son interrompus. » (p. 79-80.)
Le pardon l’emporte sur la vengeance, et l’intérêt public sur la guerre. Érasme se souvient des empereurs romains pacifiques, comme Auguste, et de deux qui ont mérité d’appellatif de « pieux » : Antonin (138-161) et Marc-Aurèle (161-180).
Nous sommes « livrés en spectacle » (1 Cor 4, 9), par le scandale de nos guerres, par nos inventions militaires. Il faut donc fermer les portes du temple de Janus, au nom du Christ. Du reste, Érasme n’a pas peur de rappeler que « l’éternité est aux portes » : à quoi bon s’acharner pour des choses aussi vaines, comme si la vie était immortelle ? (p. 85.)
Péroraison
Le discours se termine par une magnifique « péroraison ». Acta est fabula : « La pièce est terminée. » (p. 86.) La paix, par la bouche d’Érasme, exhorte les souverains, les prêtres, les théologiens, les évêques, les nobles, les magistrats. L’humanité commune et le Christ, prince de la paix, constituent les motivations profondes de cette exhortation. Les nations semblent bien disposées dans leurs princes : François Ier de France, Charles Ier d’Espagne, Maximilien d’Autriche, Henri VIII d’Angleterre et surtout Léon X, pape.
Pour sa beauté et sa haute inspiration, nous recopions la partie finale de cette « péroraison » : « Vous voyez combien, jusqu’à présent, les traités se sont montrés inefficaces, combien peu concluantes les alliances matrimoniales, la vengeance et la guerre. Tentez maintenant l’expérience inverse : voyez ce que peut l’amour de la paix et la volonté de faire du bien. La guerre engendre la guerre, la vengeance entraîne la vengeance. Que maintenant la bienveillance engendre la bienveillance, que le bienfait invite le bienfait, et qu’un roi paraisse d’autant plus royal qu’il aura sacrifié une part de son droit. Ce que mènent les passions humaines n’a pas souvent d’issue heureuse ; mais le Christ en personne favorisera les assemblées animées de sentiments religieux ; il favorisera les entreprises où l’on reconnaîtra son inspiration et qu’il verra menées sous son auspice. Il assistera, inspirera et favorisera ceux qui favoriseront ce à quoi il a donné lui-même sa faveur. Que l’intérêt public l’emporte sur les passions privées. D’ailleurs, pendant qu’on veillera au bien commun, chacun verra sa noblesse augmenter en dignité parce qu’ils gouverneront des hommes pieux et heureux, et assureront la suprématie des lois sur les armes ; les grands jouiront d’une dignité plus assurée et plus authentique, les clercs d’une retraite plus paisible et plus profonde, le peuple d’une tranquillité plus prospère et d’une prospérité plus sûre. Le nom de chrétien inspirera plus de crainte aux ennemis de la croix. Enfin, chacun se sentant aimé d’autrui et tous de tous, vous serez heureux et, mieux encore, vous serez agréables au Christ. Or, lui plaire c’est là le comble de la félicité. J’ai dit. » (p. 89-90.)
Conclusion
Quand on sait que juste l’année suivante – 1517 – commence la « protestation » de Luther, et que les guerres qui vont ensanglanter les chrétiens seront terribles et prolongées [[Après les guerres de religion en France, de l’armée invincible de l’Espagne contre l’Angleterre, la plus terrible sera la guerre de Trente Ans (1618-1648) entre catholiques et protestants.]], on comprend tout le désarroi d’Érasme dans les dernières années de sa vie. Face à la Réforme en Allemagne, il écrit avec clarté : « Il ne faut rien innover sans l’autorité de l’Église » (1525), et il assiste à une guerre « irréconciliable » avec tous les luthériens. Parfois il regrette avoir écrit des critiques qui ont pu provoquer les ruptures postérieures [[« Si j’avais soupçonné que ce siècle devait naître, j’aurais écrit beaucoup de choses de manière bien différente, ou bien je n’aurais pas écrit du tout » (Lettre à Campegio, 1524).]].
Lui-même devra partir de Bâle, devenue protestante en 1529, et se réfugier dans la ville catholique de Fribourg-en-Brisgau. Ses derniers écrits sont encore un cri pour la paix ecclésiastique : Precatio ad Dominum Jesum pro pace Ecclesiae (1532), De amabili Ecclesiae concordia (1533), De puritate Ecclesiae christianae (1536), le dernier de ses écrits [[Voir R.Villoslada, art. cit., col. 929-931.]].
Le projet culturel et spirituel d’Érasme, conduit avec un formidable effort d’érudition classique et chrétienne, soutenu par des publications à large diffusion et propagé par un réseau épistolaire presque universel, n’a donc pas abouti à une véritable réforme de la « république chrétienne », selon l’expression de l’époque. Son appel à la conscience et à la morale de l’Évangile est resté inefficace, bien que sans doute Érasme soit à la base du mouvement intellectuel européen du début du xvie siècle.
En tirant les leçons du passé, serait-il possible de songer à un « humanisme intégral [[C’est la formule et surtout l’œuvre bien connue de Jacques Maritain depuis 1936.]] », à un « nouvel humanisme [[Proposé déjà par Paul VI dans Populorum progessio (1967), l’idée a été relancée par Jean-Paul II à l’occasion du jubilé des universités catholiques (septembre 2000). Voir F. Guillen, « Vatican II, Paul VI et Jean-Paul II : impact en Afrique d’un nouvel humanisme chrétien » dans Seminarium B 41(2001), p. 607-644.]] », dans l’âge de la mondialisation, toujours en vue d’une « paix solide » ? La raison et la foi peuvent-elles collaborer à ce projet d’humanité accomplie ?
Quand le panorama des violences et des conflits dans le monde reste encore très préoccupant, malgré les efforts afin que « les lois fassent taire les armes », nous pouvons rendre hommage à l’effort mené par Érasme, en reproduisant les paroles que lui consacre le P. H.-M. Féret, o.p. : « Sa prodigieuse lucidité, au milieu des bouleversements de son temps, fut peut-être bien la principale cause de l' »inefficacité » que les passions partisanes lui reprochèrent. Au total, pour demeurer jusqu’au bout fidèle à la ligne en laquelle il croyait devoir servir inséparablement la vérité de la culture et celle de l’Évangile, il lui fallut un courage spirituel à la grandeur duquel on n’a sans doute pas suffisamment rendu hommage [[H.-M.Feret, « Érasme » dans Catholicisme, IV, col 375. En 1971, le P. G. Chantraine publiait sa thèse Mystère et philosophie du Christ selon Érasme, (Namur), qui est une véritable « réhabilitation » de la théologie humaniste d’Érasme, avec préface du cardinal de Lubac (voir NRTh, n° 94 (1972), p. 840). En général voir J.-Cl. Margolin, Guerre et paix dans la pensée d’Érasme, Paris, Éd. Aubier, 1973, 383 p.]]. »
Presque trois siècles plus tard, Kant écrira son célèbre essai Vers la paix perpétuelle [[Ensemble avec Que signifie s’orienter dans la pensée ? et Qu’est-ce que les Lumières ?, Paris, Éd. Flammarion, 1991, 206 p.]] (1795). Il serait éclairant de constater l’évolution de la mentalité européenne. En pleine Aufklärung, les références au Christ, à son Évangile, à son Corps, à l’Église, comme fondements de la paix, ont totalement disparu. On est loin de l’humanisme chrétien d’Érasme.
Quelle est aujourd’hui la « philosophie de la paix » dans la pensée occidentale [[Voir Ch.-W. Morris, « Guerre et paix » dans M. Canto-Sperber (dir.), Dictionnaire d’éthique et de philosophie morale, Paris, PUF, 2001 (3), col. 668-676.]] ? Pour trouver des accents proches d’Érasme, il faudrait revenir à l’enseignement pontifical récent sur la paix.
– Source : Esprit & Vie
– Revue catholique de formation permanente
– La revue, publiée par les Éditions du Cerf, compte 22 numéros par an. Tous les quinze jours, le lecteur traverse en 48 pages l’actualité ecclésiale, approfondit un dossier biblique, s’approprie les éléments d’une question théologique, ouvre ses horizons sur une période de l’histoire ou de l’art…
– Esprit et Vie n°124 – mars 2005 – 2e quinzaine, p. 29-32.
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