SEMAINE BUDDHACHANNEL EN CHINE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI
Meng Haoran
Arrêtons-nous aujourd’hui sur un autre grand poète de l’époque Tang : Meng Haoran
Ce poète de la liberté est un des rares écrivains de cette époque a refuser toute carrière officielle.
Né vraisemblablement (mais sans certitude) autour de 690 à Siang-yang, il devint un fin lettré.
A quarante ans, il partit vivre en ascète dans les montagnes, et à part quelques soucis pour des essais satyriques qu’il se risqua à écrire, le reste de sa vie sera pétri du silence de la nature, chantant les subtilités de la vie depuis le mont Nan-chan.
Voici un de ses poèmes qui passèrent les siècles :
« La lumière du matin printanier réveille le dormeur,
De partout il entend résonner les chants d’oiseaux,
Mais avec la pluie et le vent de cette nuit
Combien de fleurs maintenant couchent à terre? »
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Belle et bonne journée
Alain Delaporte-Digard