
Sur Buddhachannel, vous pouvez commander le DVD en dessin animé de la Légende du Bouddha ».
Un beau cadeau pour petits et grands.
Un moment inspirant pour les enfants que vous aimez.
Primé en 2005, La Légende de Bouddha figure parmi les 11 titres en présélection aux Oscars 2005, aux côtés des films prestigieux des grands studios américains tels que Shrek 2 (Dreamworks), Les Indestructibles (Buena Vista), Gang de Requins (Dreamworks), Le Pôle Express (Warner), etc…
Ce long métrage d’animation a été le fruit d’un travail et de moyens exceptionnels : plus de 400 créateurs ont participé à la réalisation des 200.000 dessins et 1.000 décors entièrement peints à la main, à la façon des premiers dessins animés des Studios Disney.
Un site internet est dédié à vous présenter ce chef d’oeuvre incontournable du cinéma d’animation.
La légende de Bouddha
L’histoire
Durant sa prime enfance, le futur Bouddha fut présenté aux devins du clan. Selon leurs prédictions, il était promis à un grand avenir. Soit en tant que souverain, soit comme guide spirituel. S’il devait succéder à son père, il deviendrait un Maharajah qui régnerait sur un vaste royaume. Mais si par hasard, il devait embrasser la vie spirituelle, il deviendrait alors un Sage parmi les sages. Son père qui avait une grande foi dans ces prédictions, mit tout en œuvre pour que son fils ne puisse en aucun cas être attiré par la spiritualité. Siddharta devait devenir Maharajah et prendre la succession du royaume, il ne pouvait en être autrement.
Siddharta grandit donc dans un milieu très protégé et reçu une éducation à la hauteur de son rang. Il étudie l’algèbre, la géométrie, l’astronomie, l’histoire, les langues… Plus tard, il est formé au maniement des armes et à la lutte.
Mais le Roi demeure très inquiet pour l’avenir de son fils. Bien que doué, celui-ci n’est guère intéressé par les affaires et encore moins par les disciplines martiales. Pour le lier plus fortement au monde, il décide d’arranger un mariage avec princesse d’un royaume voisin.
Les distractions ne manquent pas, les banquets sont quasi quotidiens avec de nombreuses festivités : spectacles, musique, danses, jongleurs, acrobates… Siddharta vit ainsi dans le luxe et la volupté. Mais de nature plutôt spirituelle, cette vie ne le comble pas véritablement.
Quel plaisir peut-il avoir dans ce monde, alors qu’il sera tôt ou tard séparé des siens, comme sa mère l’a été alors qu’elle était encore si jeune ? Combien de temps lui reste t-il à vivre ? Ces questions l’entrainent dans des méditations de plus en plus fréquentes.
Il ne peut s’empêcher de penser qu’il doit exister une voie qui permette d’échapper à cette destinée fatale. Il ne peut s’y résoudre, il se doit d’agir. Si une telle voie existe, il la trouvera, quand bien même il devrait renoncer à tout pour y parvenir. Sa décision est irrévocable, il partira prochainement.
Siddharta entreprend alors une vie d’ascèse et se consacre à des pratiques méditatives austères. Six ans plus tard, il abandonne ces pratiques qui ne l’ont pas mené à une plus grande compréhension du monde, en acceptant des mains d’une jeune fille un bol de riz au lait. En absorbant cette manne, Siddharta sent la vie frémir à nouveau dans son corps. Il se rappelle sa vie passée et pense alors que si l’opulence ne peut lui permettre de se libérer, les mortifications sont également une voie sans issue.
Éviter les extrêmes en toutes circonstances, telle sera sa conduite. Désormais, il empruntera la «voie du milieu».
Siddhârta prend alors place sous un arbre et fait le vœu de ne pas bouger avant d’avoir atteint la Vérité. Mâra le démon de la mort, effrayé du pouvoir qu’il allait obtenir contre lui en délivrant les hommes de la peur de mourir, tente de le sortir de sa méditation en lançant contre lui des hordes de démons effrayants et ses filles séductrices. Siddharta les vaincra calmement d’un simple geste de sa main. Consumé par l’enfer du tourbillon, Mâra à l’agonie disparaît aspiré par le sol.
Absorbé par sa méditation, Bouddha n’a plus la notion de l’espace et du temps. Parfaitement concentré, son esprit se clarifie jusqu’à disparaître, pour laisser place à une sensation extraordinaire, mêlée de joie et de plénitude.
Mais ce qu’il vient de réaliser ne peut être partagé, car quiconque n’a pas vécu cette sensation ne peut comprendre ce dont il s’agit. Il s’interroge longuement. Comment peut-il dispenser son enseignement ?
A la fois distrayant et instructif, ce film met en avant les principes et les valeurs de la famille pour les plus jeunes générations.
Sortie Nationale du DVD le 14 juin 2007
Durée : 1 h 30
Langues : Français & Anglais, sous-titré français
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