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Kyoto dans la peau

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C’est là. Tout commence sur ces deux pierres lisses et larges qui dallent le passage au milieu des corolles de gravillons et des stèles minérales du jardin zen. Dans ce Kyoto sylvestre et septentrional qui se dérobe vers le mont Hiei, le temple Enkôji est un refuge, un écrin, un ancrage. Sébastien Raizer en a fait son embarcadère. Le 31 juillet 2014, il avait les pieds sur deux dalles, les yeux tournés vers le ciel, quand il a senti le sol vibrer. «Cette vibration à l’extérieur était en phase avec la vibration à l’intérieur. Tout s’est déroulé en une fraction de seconde et tout était contenu dans ce laps de temps infime. Il y a eu une évidence. Les territoires physiques, psychiques et spirituels cohabitent ici. Je me suis dit que l’histoire allait être vaste.»

C’est là. Tout commence sur ces deux pierres lisses et larges qui dallent le passage au milieu des corolles de gravillons et des stèles minérales du jardin zen. Dans ce Kyoto sylvestre et septentrional qui se dérobe vers le mont Hiei, le temple Enkôji est un refuge, un écrin, un ancrage. Sébastien Raizer en a fait son embarcadère. Le 31 juillet 2014, il avait les pieds sur deux dalles, les yeux tournés vers le ciel, quand il a senti le sol vibrer. «Cette vibration à l’extérieur était en phase avec la vibration à l’intérieur. Tout s’est déroulé en une fraction de seconde et tout était contenu dans ce laps de temps infime. Il y a eu une évidence. Les territoires physiques, psychiques et spirituels cohabitent ici. Je me suis dit que l’histoire allait être vaste.»

C’est mal connaître le fervent Sébastien Raizer, et sous-estimer la portée de la révélation du 31 juillet. «L’évidence était tellement forte qu’elle écrasait la notion de choix. J’ai su ce jour-là…

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