J’eus alors cette pensée : « Si je pense et réfléchis beaucoup, mon corps perdra la joie, et cela nuira à ma pensée. Il vaut donc mieux que je puisse gouverner intérieurement ma pensée, qu’elle demeure constamment à l’intérieur et se repose. Mon esprit étant unifié, j’obtiendrai la concentration (samadhi) et je ferai en sorte que rien ne nuise à ma pensée. »
Madhyama-agama, Zhong ahan jing