AMOUR, UN ASPECT INTRINSEQUE DE NOTRE NATURE
L’amour est une si belle expression ! Quand nous sentons la passion de la romance, le contact doux de la bonté, ou le regard fixe simple d’un sourire disposé, nous sommes soulevés dans une conscience plus élevée du potentiel de la vie. Nous nous rappelons immédiatement que c’est cet amour qui nous unit et nous assure que tout est bien.
Au noyau de notre être nous savons intuivement que nous sommes amour.
Pas simplement une expression externe de l’amour que nous égalisons ou définissons comme acte affectueux plutôt l’Amour plus grand qui est sans conditions. Cet amour ne fait aucune limite à notre coeur à faire battre notre corps et sentir notre esprit à penser. Il nous anime et nous inspire. Tant d’amour illimité nous donne littéralement la liberté pour explorer les profondeurs même de notre réalité. Sans lui nous cessons d’exister. Avec lui nous montons aux ouvertures étonnantes de l’expérience. L’amour est silencieux pourtant présent à chaque moment. Ce n’est pas un paradoxe il est une invitation. L’amour ne s’impose pas puisqu’il n’ est jamais présent. Il se rappelle simplement à nous et demande qu’il soit inclus dans notre conscience par chaque pensée, sentiment, mot, contrat et action.
Qu’est ce qu’il peut être plus facile ?
En ce monde physique nous sommes devenus jusqu’ici enlevés de cet aspect intrinsèque de notre nature que nous avons négligé son existence et son importance. Au lieu de cela nous remplaçons fréquemment l’amour vrai avec nos notions et espérances sensorielles et limitons notre expression à quelques acrobaties physiologiques, mentales et émotives.
Ces démonstrations sont une version artificielle de l’amour et sont une marque symbolique au mieux.
Naturellement elles contiennent les graines d’un plus grand amour cependant habituellement nous ne consolidons pas ou ne cultivons pas l’amour sans conditions assez longtemps pour éprouver son potentiel dans nos rapports.
Qui parmi nous est assez courageux pour se rappeler la vérité de l’amour ? Devons nous être ainsi le premier à oser pour embrasser et s’accepter en tant qu’êtres efficaces de l’amour ?
Sommes nous disposés à partager cette expresion sans limites à chacun autour de nous sans espérer quelque chose en retour ?
Pouvons nous êtres si « bold » quant à pardonner ?
Si indigne quant à accepter et embrasser le même potentiel de l’amour des autres ?
Comme nous nous développons par la vie laissons nous contempler et appeller ce plus grand amour.
Harold W Becker
LOVE or LOVE
Love is such a beautiful expression. When we feel the passion of romance, the gentle touch of kindness, or the simple gaze of a willing smile, we are lifted into a higher awareness of life’s potential. In these precious moments, the impossible melts into infinity itself where all things are possible.
We instantly remember what matters most is this love that unites us and assures us that all is well.
At the core of our being, we intuitively know we are love. Not just an external expression of love that we equate or define as a loving act, rather the grander love that is unconditional. This love knows no bounds or limits, causes our heart to beat, our body to feel and our mind to think.
It animates us and inspires us. Such boundless love literally gives us the freedom to explore the very depths of our reality.
Without it, we cease to exist. With it, we soar to amazing heights of experience.
Love is silent, yet beckons each moment. This is not a paradox, it is an invitation. Love does not intrude since it is ever present.
It merely calls to us and asks that it be included in our awareness through every thought, feeling, word, deed and action.
What could be easier?
In this physical world we have become so far removed from this intrinsic aspect of our nature that we have forgotten its existence and importance.
Instead, we frequently replace true love with our sensory notions and expectations and limit our expression to a few physiological, mental and emotional acrobatics.
These demonstrations are an artificial version of love and are symbolic tokens at best. Naturally, they contain the seeds of a grander love; however we usually do not nurture or cultivate unconditional love long enough to experience its potential in us or our relationships.
Who among us is courageous enough to remember the truth of love?
Shall we be so brave as to be the first to embrace and accept ourselves as potent beings of love?
Are we willing to share this limitless expression to each and every one around us – without expectation of anything in return?
Can we be so bold as to forgive?
So outrageous as to accept and embrace the same potential of love in others?
As we grow through life, let us contemplate and invoke this grander love.
Harold W Becker