05/04/2012
– Davina Delor, vous abordez dans ce livre des thèmes simples comme la peur, le pardon, la vieillesse, la culpabilisation, via le prisme du bouddhisme et sur le ton de la discussion, presque de la confidence, avec Huguette Maure, votre directrice d’ouvrage…
En effet, pour que mon propos reste accessible à tous. Je n’ai pas voulu parler de moi, je n’y vois pas l’intérêt et j’ai même refusé au départ la proposition de Michel Lafon puis nous sommes tombés d’accord. Mon sujet est le bouddhisme, que je connais très bien et dont j’ai pu voir les résultats. Je dialogue sur ce thème avec Huguette, totalement étrangère à cette philosophie, qui me pose des questions simples.
– Pourquoi ce livre aujourd’hui ?
Je voulais montrer de façon très claire, que le bouddhisme est une philosophie de vie, avant d’être une religion, une façon d’orienter son regard sur sa propre vie, sur les divers événements qui nous arrivent. Se dire : « Tiens, est-ce que je ne me mets pas des freins moi-même dans ma façon de voir les choses ? ». C’est un livre pour moins souffrir, pour comprendre ce qu’on pourrait améliorer quant à notre regard sur le monde. Comprendre les causes de notre souffrance.
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