Le Shinjinmei de Sosan (606) (ch. Sengcan) est le texte le plus ancien du zen chan
Dans le ventre du dragon fait exactement le même pari, au-delà des religions, au-delà de l’Orient et de l’Occident, dans la mesure où Philippe Coupey, en commentant le Shinjinmei, cherche à nous faire toucher du doigt la sagesse issue de l’expérience intime de zazen, accessible à chacun et susceptible de modifier sa perception de lui-même et du monde, et par voie de conséquence son karma, plutôt que de formuler un exposé doctrinal. En précisant toutefois, que cette approche n’exclut nullement la connaissance érudite des textes et de l’histoire du zen ou celle des spécificités de l’école dont l’auteur est issu.